Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de la liberté de la presse, sous l’égide de l’UNESCO
Le 3 mai, on rappelle aux gouvernements qu’il leur incombe de protéger la liberté de la presse et de s’engager pour l’éthique professionnelle
Beaucoup de médias sont victimes de l’atteinte à leurs mission : relever les faits.
Harcèlement, hacking, surveillance, censure, emprisonnement, meurtres…
Le message d’Audrey Azoulay, directrice générale de cette Journée :
Il nous incombe à tous d’en faire plus pour gérer les risques et saisir les possibilités qu’offre l’ère du numérique. En cette Journée mondiale de la liberté de la presse, j’invite les États membres, les entreprises technologiques et la communauté des médias, ainsi que le reste de la société civile, à unir leurs forces pour établir une nouvelle configuration numérique qui protégerait à la fois le journalisme et les journalistes.
— Audrey Azoulay, Directrice générale, Journée mondiale de la liberté de la presse
Voici la courte vidéo de sensibilisation de l’UNESCO : « Honorer ceux qui défendent votre liberté »
Récemment, nous vous avons parlé du projet de directive anti-SLAPP, contre les poursuites bâillons annoncé par la Commission européenne, qui vise à protéger les journaliste et autres acteurs de la société civiles contre cette forme de harcèlement qui consiste à engager des poursuites infondées contre les victimes.
Tous les combats pour protéger la démocratie sont essentiels, celui-ci en fait partie.
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